Saison 2023-2024
La saison est officiellement terminée, nous vous remercions pour votre présence
Sacré profane !
15 décembre 2024 - 14h
Église du Très-Saint-Nom-de-Jésus
Sacré profane
La Nativité : Un mystère sacré, une fête profane
Depuis des temps immémoriaux, le sacré et le profane se confondent dans toutes les traditions chrétiennes. Au Moyen-Âge, par exemple, non seulement les affaires de ce monde étaient-elles traitées dans l’église en présence du curé, des nobles et du peuple, mais le calendrier des fêtes, imposait l’arrêt du travail, la fréquentation de l’église et les festivités communautaires qui forcément l’accompagnent, plus de 180 jours dans une année. Le sacré était partout et pénétrait au plus intime de la vie quotidienne.
Le profane quant à lui, s’insinuait bien sûr dans les festivités, mais s’invitait tout naturellement dans l’église où vaches, cochons et volailles côtoyaient les saints et les saintes et participaient avec force vociférations animales aux mystères sacrés au même titre que les fidèles.
Mais lorsqu’il s’agit de la fête de Noël, la mince ligne entre le sacré et le profane tend à s’estomper complètement. Bien sûr on assiste aux offices religieux où la musique sacrée envoûte les fidèles et tend à élever les âmes. Mais l’extrême popularité de cette fête, qui présente cette image irrésistible de la Vierge avec l’Enfant-Sauveur, né dans une mangeoire, pauvre et proche du peuple, permet l’enrichissement d’un folklore qui exploite chaque verset des Saintes Écritures pour les enjoliver et les augmenter de scènes et de personnages du quotidien profane.
Vox, ensemble de musique sacrée, présente un concert de Noël qui vous emmènera dans plusieurs contrées et époques. À travers la musique sacrée et le folklore des peuples, toujours vibrant et candide, nous découvrirons les plus belles expressions de ce mystère sacré/profane où l’En-Haut se marie à l’Ici-Bas dans une touchante fusion du palpable et de l’insaisissable.
Vox Coeli | Vox Mundi
1er juin 2024 - 19h30
Église du Très-Saint-Nom-de-Jésus
Entre les voix du ciel et les voix d’ici-bas, Vox explore les méandres qu’emprunte l’homme sur le chemin de la vie, déchiré qu’il est depuis qu’il a été chassé du paradis terrestre, entre Amour et haine, guerre et paix, joie et tristesse, bien et mal. Il crie sa misère, alors que, comme aujourd’hui, tous les Abel de la terre subissent les sévices de tous les Caïn.
L’homme se lamente sur sa finitude, conséquence de la malédiction divine :
« Souviens-toi, homme, que tu es poussière et que tu retourneras en poussière ».
Cette poussière n’est-elle pas la matière originelle de laquelle tout fut tiré, les galaxies, les planètes et tous les luminaires célestes ? Ne sommes-nous pas alors poussière d’étoiles ? La lumière serait alors en nous et nous ne la trouverons pas seulement au bout de notre vie.
Le but n’est pas au bout du chemin, le but, c’est le chemin et il se poursuit au bout de la vie. Au fil de la longue marche de l’humanité vers le paradis perdu, une voix se fait entendre : « Je suis l’Alpha et l’Omega, le premier et le dernier, le commencement et la fin ». Elle indique la voie qui réconcilie les extrêmes sur le chemin du retour à l’origine.
Alors : « Souviens-toi, homme, que tu es lumière et que tu retourneras à la lumière ».
Vox Coeli | Vox Mundi
26 mai 2024 - 14h00
Église Saint-Zotique
Entre les voix du ciel et les voix d’ici-bas, Vox explore les méandres qu’emprunte l’homme sur le chemin de la vie, déchiré qu’il est depuis qu’il a été chassé du paradis terrestre, entre Amour et haine, guerre et paix, joie et tristesse, bien et mal. Il crie sa misère, alors que, comme aujourd’hui, tous les Abel de la terre subissent les sévices de tous les Caïn.
L’homme se lamente sur sa finitude, conséquence de la malédiction divine :
« Souviens-toi, homme, que tu es poussière et que tu retourneras en poussière ».
Cette poussière n’est-elle pas la matière originelle de laquelle tout fut tiré, les galaxies, les planètes et tous les luminaires célestes ? Ne sommes-nous pas alors poussière d’étoiles ? La lumière serait alors en nous et nous ne la trouverons pas seulement au bout de notre vie.
Le but n’est pas au bout du chemin, le but, c’est le chemin et il se poursuit au bout de la vie. Au fil de la longue marche de l’humanité vers le paradis perdu, une voix se fait entendre : « Je suis l’Alpha et l’Omega, le premier et le dernier, le commencement et la fin ». Elle indique la voie qui réconcilie les extrêmes sur le chemin du retour à l’origine.
Alors : « Souviens-toi, homme, que tu es lumière et que tu retourneras à la lumière ».
… et in terra Pax !
17 décembre 2023 - 14h
Église du Très-Saint-Nom-de-Jésus
« … et paix sur la terre »
Vox chante l’ombre, la lumière et la paix… En ces temps de guerre, nos voix réunies s'harmonisent et deviennent le présage d’une paix possible !
Plain-chant et polyphonies anciennes et nouvelles : Vittoria, Byrd, Tavener et des noëls anonymes de plusieurs traditions et cultures.
Les allégories que présentent les textes et les musiques de l’Avent et de la Nativité ont un large spectre d’expression, avec des relents de légendes païennes harmonisées au christianisme. Durant l’Avent, la liturgie nous ramène à des images cosmiques et fixe notre attention sur l’Avènement du Sauveur annoncé par les prophéties et sur son retour à la fin des temps décrit dans l’Apocalypse. En ce temps si sombre de l’année, on y exprime toutes les misères de l’humanité chassée du paradis terrestre et la finitude de la création.
Puis, vient Noël, la lumière gagne sur la pénombre lors du solstice d’hiver et tout devient plus lumineux. Le cours de l’histoire est renversé, la colère de Dieu se mue en tendresse paternelle. Les plus humbles et les plus pauvres, non pas les puissants et les riches, sont les premiers à voir se lever la lumière et sont conviés à l’étable où gît, dans une mangeoire, l’Enfant qui est la lumière des nations. Le cycle culmine avec les mages, ces rois sages accourus des 4 coins de la terre et qui figurent la multitude des peuples, unis dans la paix nouvelle, annoncée par les chœurs angéliques dans la nuit de Noël : « … et in terra Pax ! ».
… et in terra Pax !
10 décembre 2023 - 14h
Église Saint-Zotique
« … et paix sur la terre »
Vox chante l’ombre, la lumière et la paix… En ces temps de guerre, nos voix réunies s'harmonisent et deviennent le présage d’une paix possible !
Plain-chant et polyphonies anciennes et nouvelles : Vittoria, Byrd, Tavener et des noëls anonymes de plusieurs traditions et cultures.
Les allégories que présentent les textes et les musiques de l’Avent et de la Nativité ont un large spectre d’expression, avec des relents de légendes païennes harmonisées au christianisme. Durant l’Avent, la liturgie nous ramène à des images cosmiques et fixe notre attention sur l’Avènement du Sauveur annoncé par les prophéties et sur son retour à la fin des temps décrit dans l’Apocalypse. En ce temps si sombre de l’année, on y exprime toutes les misères de l’humanité chassée du paradis terrestre et la finitude de la création.
Puis, vient Noël, la lumière gagne sur la pénombre lors du solstice d’hiver et tout devient plus lumineux. Le cours de l’histoire est renversé, la colère de Dieu se mue en tendresse paternelle. Les plus humbles et les plus pauvres, non pas les puissants et les riches, sont les premiers à voir se lever la lumière et sont conviés à l’étable où gît, dans une mangeoire, l’Enfant qui est la lumière des nations. Le cycle culmine avec les mages, ces rois sages accourus des 4 coins de la terre et qui figurent la multitude des peuples, unis dans la paix nouvelle, annoncée par les chœurs angéliques dans la nuit de Noël : « … et in terra Pax ! ».
… et in terra Pax ! | Les choralies
16 décembre 2023 - 13h30 et 15h
Église Notre-Dame-de-Bon-Secours
« … et paix sur la terre »
Vox chante l’ombre, la lumière et la paix… En ces temps de guerre, nos voix réunies s'harmonisent et deviennent le présage d’une paix possible !
Plain-chant et polyphonies anciennes et nouvelles : Vittoria, Byrd, Tavener et des noëls anonymes de plusieurs traditions et cultures.
Les allégories que présentent les textes et les musiques de l’Avent et de la Nativité ont un large spectre d’expression, avec des relents de légendes païennes harmonisées au christianisme. Durant l’Avent, la liturgie nous ramène à des images cosmiques et fixe notre attention sur l’Avènement du Sauveur annoncé par les prophéties et sur son retour à la fin des temps décrit dans l’Apocalypse. En ce temps si sombre de l’année, on y exprime toutes les misères de l’humanité chassée du paradis terrestre et la finitude de la création.
Puis, vient Noël, la lumière gagne sur la pénombre lors du solstice d’hiver et tout devient plus lumineux. Le cours de l’histoire est renversé, la colère de Dieu se mue en tendresse paternelle. Les plus humbles et les plus pauvres, non pas les puissants et les riches, sont les premiers à voir se lever la lumière et sont conviés à l’étable où gît, dans une mangeoire, l’Enfant qui est la lumière des nations. Le cycle culmine avec les mages, ces rois sages accourus des 4 coins de la terre et qui figurent la multitude des peuples, unis dans la paix nouvelle, annoncée par les chœurs angéliques dans la nuit de Noël : « … et in terra Pax ! ».