Vox Coeli | Vox Mundi
1er juin 2024 - 19h30
Église du Très-Saint-Nom-de-Jésus
Entre les voix du ciel et les voix d’ici-bas, Vox explore les méandres qu’emprunte l’homme sur le chemin de la vie, déchiré qu’il est depuis qu’il a été chassé du paradis terrestre, entre Amour et haine, guerre et paix, joie et tristesse, bien et mal. Il crie sa misère, alors que, comme aujourd’hui, tous les Abel de la terre subissent les sévices de tous les Caïn.
L’homme se lamente sur sa finitude, conséquence de la malédiction divine :
« Souviens-toi, homme, que tu es poussière et que tu retourneras en poussière ».
Cette poussière n’est-elle pas la matière originelle de laquelle tout fut tiré, les galaxies, les planètes et tous les luminaires célestes ? Ne sommes-nous pas alors poussière d’étoiles ? La lumière serait alors en nous et nous ne la trouverons pas seulement au bout de notre vie.
Le but n’est pas au bout du chemin, le but, c’est le chemin et il se poursuit au bout de la vie. Au fil de la longue marche de l’humanité vers le paradis perdu, une voix se fait entendre : « Je suis l’Alpha et l’Omega, le premier et le dernier, le commencement et la fin ». Elle indique la voie qui réconcilie les extrêmes sur le chemin du retour à l’origine.
Alors : « Souviens-toi, homme, que tu es lumière et que tu retourneras à la lumière ».
Vox Coeli | Vox Mundi
26 mai 2024 - 14h00
Église Saint-Zotique
Entre les voix du ciel et les voix d’ici-bas, Vox explore les méandres qu’emprunte l’homme sur le chemin de la vie, déchiré qu’il est depuis qu’il a été chassé du paradis terrestre, entre Amour et haine, guerre et paix, joie et tristesse, bien et mal. Il crie sa misère, alors que, comme aujourd’hui, tous les Abel de la terre subissent les sévices de tous les Caïn.
L’homme se lamente sur sa finitude, conséquence de la malédiction divine :
« Souviens-toi, homme, que tu es poussière et que tu retourneras en poussière ».
Cette poussière n’est-elle pas la matière originelle de laquelle tout fut tiré, les galaxies, les planètes et tous les luminaires célestes ? Ne sommes-nous pas alors poussière d’étoiles ? La lumière serait alors en nous et nous ne la trouverons pas seulement au bout de notre vie.
Le but n’est pas au bout du chemin, le but, c’est le chemin et il se poursuit au bout de la vie. Au fil de la longue marche de l’humanité vers le paradis perdu, une voix se fait entendre : « Je suis l’Alpha et l’Omega, le premier et le dernier, le commencement et la fin ». Elle indique la voie qui réconcilie les extrêmes sur le chemin du retour à l’origine.
Alors : « Souviens-toi, homme, que tu es lumière et que tu retourneras à la lumière ».
… et in terra Pax !
17 décembre 2023 - 14h
Église du Très-Saint-Nom-de-Jésus
« … et paix sur la terre »
Vox chante l’ombre, la lumière et la paix… En ces temps de guerre, nos voix réunies s'harmonisent et deviennent le présage d’une paix possible !
Plain-chant et polyphonies anciennes et nouvelles : Vittoria, Byrd, Tavener et des noëls anonymes de plusieurs traditions et cultures.
Les allégories que présentent les textes et les musiques de l’Avent et de la Nativité ont un large spectre d’expression, avec des relents de légendes païennes harmonisées au christianisme. Durant l’Avent, la liturgie nous ramène à des images cosmiques et fixe notre attention sur l’Avènement du Sauveur annoncé par les prophéties et sur son retour à la fin des temps décrit dans l’Apocalypse. En ce temps si sombre de l’année, on y exprime toutes les misères de l’humanité chassée du paradis terrestre et la finitude de la création.
Puis, vient Noël, la lumière gagne sur la pénombre lors du solstice d’hiver et tout devient plus lumineux. Le cours de l’histoire est renversé, la colère de Dieu se mue en tendresse paternelle. Les plus humbles et les plus pauvres, non pas les puissants et les riches, sont les premiers à voir se lever la lumière et sont conviés à l’étable où gît, dans une mangeoire, l’Enfant qui est la lumière des nations. Le cycle culmine avec les mages, ces rois sages accourus des 4 coins de la terre et qui figurent la multitude des peuples, unis dans la paix nouvelle, annoncée par les chœurs angéliques dans la nuit de Noël : « … et in terra Pax ! ».
… et in terra Pax !
10 décembre 2023 - 14h
Église Saint-Zotique
« … et paix sur la terre »
Vox chante l’ombre, la lumière et la paix… En ces temps de guerre, nos voix réunies s'harmonisent et deviennent le présage d’une paix possible !
Plain-chant et polyphonies anciennes et nouvelles : Vittoria, Byrd, Tavener et des noëls anonymes de plusieurs traditions et cultures.
Les allégories que présentent les textes et les musiques de l’Avent et de la Nativité ont un large spectre d’expression, avec des relents de légendes païennes harmonisées au christianisme. Durant l’Avent, la liturgie nous ramène à des images cosmiques et fixe notre attention sur l’Avènement du Sauveur annoncé par les prophéties et sur son retour à la fin des temps décrit dans l’Apocalypse. En ce temps si sombre de l’année, on y exprime toutes les misères de l’humanité chassée du paradis terrestre et la finitude de la création.
Puis, vient Noël, la lumière gagne sur la pénombre lors du solstice d’hiver et tout devient plus lumineux. Le cours de l’histoire est renversé, la colère de Dieu se mue en tendresse paternelle. Les plus humbles et les plus pauvres, non pas les puissants et les riches, sont les premiers à voir se lever la lumière et sont conviés à l’étable où gît, dans une mangeoire, l’Enfant qui est la lumière des nations. Le cycle culmine avec les mages, ces rois sages accourus des 4 coins de la terre et qui figurent la multitude des peuples, unis dans la paix nouvelle, annoncée par les chœurs angéliques dans la nuit de Noël : « … et in terra Pax ! ».
… et in terra Pax ! | Les choralies
16 décembre 2023 - 13h30 et 15h
Église Notre-Dame-de-Bon-Secours
« … et paix sur la terre »
Vox chante l’ombre, la lumière et la paix… En ces temps de guerre, nos voix réunies s'harmonisent et deviennent le présage d’une paix possible !
Plain-chant et polyphonies anciennes et nouvelles : Vittoria, Byrd, Tavener et des noëls anonymes de plusieurs traditions et cultures.
Les allégories que présentent les textes et les musiques de l’Avent et de la Nativité ont un large spectre d’expression, avec des relents de légendes païennes harmonisées au christianisme. Durant l’Avent, la liturgie nous ramène à des images cosmiques et fixe notre attention sur l’Avènement du Sauveur annoncé par les prophéties et sur son retour à la fin des temps décrit dans l’Apocalypse. En ce temps si sombre de l’année, on y exprime toutes les misères de l’humanité chassée du paradis terrestre et la finitude de la création.
Puis, vient Noël, la lumière gagne sur la pénombre lors du solstice d’hiver et tout devient plus lumineux. Le cours de l’histoire est renversé, la colère de Dieu se mue en tendresse paternelle. Les plus humbles et les plus pauvres, non pas les puissants et les riches, sont les premiers à voir se lever la lumière et sont conviés à l’étable où gît, dans une mangeoire, l’Enfant qui est la lumière des nations. Le cycle culmine avec les mages, ces rois sages accourus des 4 coins de la terre et qui figurent la multitude des peuples, unis dans la paix nouvelle, annoncée par les chœurs angéliques dans la nuit de Noël : « … et in terra Pax ! ».